La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.
Référence pour ce cas: 28-sep-54-Cuges. Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
[Ref. 1688:] JOURNAL "LE MERIDIONAL":
"J'ai rencontré une soucoupe volante dans le bois de Cuges"Elle était posée sur un monticule; je me suis senti paralysé en tentant de l'approcher"affirme M. Albert Sion, employé à l'Hôtel Bristol Je n'ai jamais vu de soucoupe volante et, aussi bizarre que cela puisse paraître, ne connaissais personne qui en ait rencontré. Depuis hier, tout est changé. Je n'ai toujours pas vu de soucoupe volante, mais M. Albert Sion, plus chanceux - chance toute relative on le verra - a bien voulu m'affirmer: "J'ai rencontré une soucoupe volante, posée au sol, dans le bois de Cuges." Plutôt sensationnel, n'est-ce-pas? Ils sont légion, les marseillais qui, scrutant le ciel, ont aperçu ou cru apercevoir les engins mystérieux. Mais l'atterrissage des dits engins est chose ré- J.P. SELIGMANN SUITE PAGE 5 SOUS LE TITRE |
"J'ai rencontré une soucoupe..."Suite de la page 1 cente; il s'en est constaté dans le nord et dans l'Est. Le midi allait-il être frustré? Non. Ces jours derniers, des champs du Gard ou de la Drôme servaient de soucoupodrome. Enfin, "descendant", si l'on peut dire, encore plus, une soucoupe a choisi le bois de Cuges pour étape. La carte géographique est désormais complète. Ceci posé, je n'ironiserai pas sur les propos de M. Albert Sion sans en affirmer pour autant (et pour cause) l'authenticité. M. Sion, employé de nuit à l'hôtel Bristol, m'a reçu chez lui, à la Valbarelle, dans l'habitation H. L. M. qu'il occupe avec sa femme et ses deux enfants. D'un tempérament calme, non sujet aux hallucinations, ayant eu dans sa vie assez de "coups durs" pour être d'esprit assis, il ne croyait pas aux soucoupes volantes et refusait même d'assister aux films de "science fiction". Jusqu'à ce que... Sur la route de Toulon- J'essayais, il y a une semaine, ma moto sur la route de Toulon; elle sortait de l'atelier du mécanicien. En revenant vers Marseille, dix kilomètres environ avant Cuges, je m'engage sur un sentier, à droite de la route. Je roulais en première, lorsque aux pétarades de la moto succéda un long sifflement... et le moteur cala. Impossible de la remettre en route. Je me penche pour l'examiner, et en relevant la tête, j'aperçois, à quinze mètres devant moi, perchée sur un monticule, une soucoupe volante. Description de soucoupe"Elle avait environ huit mètres de diamètre, un mètre soixante-dix de haut. De couleur rouille, elle était formée de deux éléments de taille inégale, le supérieur étant plus large que l'inférieur. Exactement comme deux sous-tasses accolées par leurs bords. Mais la jonction des deux éléments formait une avancée de quelques centimètres de hauteur. Sur celle-ci, une zone d'ombre me fait penser que des meurtrières étaient ménagées dans la coque. Le tout était surmonté d'une coupole d'apparence identique au corps de la soucoupe, coupole entrouverte mais qui se rabattit comme un "cockpit" d'avion, sans le moindre bruit. "Je n'avais pas peur. Je servais, pendant la guerre, sur un transport de troupes. J'ai été coulé une fois et plusieurs fois bombardé. J'ai voulu m'avancer vers la soucoupe. "J'ai fait deux pas. Le troisième me fut impossible. Il semblait qu'une masse pesait sur moi et me paralysait. Je tombais assis. "Alors, je vis la soucoupe d'élever lentement, à la verticale. L'élément supérieur accusait un mouvement de rotation très doux dans le sens des aiguilles d'une montre. Pas de "train d'atterrissage": la soucoupe reposait à même le sol rocailleux du monticule. Elle s'immobilisa à une quarantaine de mètres d'altitude, marqua un temps d'arrêt et disparut en trente secondes de mon champ de vision, en s'élevant dans un angle de 45 degrés. "Je n'avais pas entendu le moindre bruit, aperçu une fumée ou un rayon quelconque. Seulement, en prenant de la hauteur, la soucoupe semblait plus claire, plus scintillante qu'au sol. "J'étais tout de même ahuri. En me relevant, je sentais mes jambes molles, trébuchais deux fois et me foulais la cheville. La moto renâcla avant de consentir à démarrer. Elle marchait, auparavant, de façon parfaite. Le mécanicien à qui je l'ai portée à nouveau, me l'a rendue sans y trouver quoi que ce soit d'anormal; elle n'en a pas, pour autant, retrouvé son régime. J'avais au poignet une montre qui, depuis dix ans, n'avais jamais "calé". Elle s'est arrêtée, en même temps que ma moto, à sept heures moins dix. Je l'ai donnée à réparer. "Je ne suis plus le même"L'événement s'était déroulé en quatre ou cinq minutes. Il fallait que je gagne mon travail, et, je l'avoue, n'étant pas des plus rassuré, je filais sans demander mon reste. J'ai tenté, ce matin, mais en vain, de retrouver le sentier. "Mais je ne suis plus le même homme. La soucoupe m'a rendu aussi nerveux que j'étais calme. Je dormais comme un loir; je souffre d'insomnie. Au travail, mes collègues me trouvent très changé; j'ai fini par leur conter mon histoire qui les laisse très sceptiques... comme ma femme d'ailleurs. Pour moi il n'est pas de question. je ne rapporte que ce que j'ai vu, et je suis prêt à en faire le serment." |
[Ref. 1306:] MAGAZINE "RADAR":
TOULON[Légende de la photo:] A. Sion: "La soucoupe s'éleva comme un cendrier". Albert Sion, employé d'hôtel, est un privilégié. La soucoupe qu'il a rencontré était posée à terre à 15 m. de lui! Il roulait à moto sur un sentier près de Cuges, entre Toulon et Marseille, quand il tomba en panne en même temps que nez à nez avec l'étonnant aéronef. Il explique: "je suis resté paralysé à sa vue." "Elle" avait dans les 8 m. de diamètre et 2 m. de haut avec une sorte de cockpit au sommet. Elle était couleur rouille et disparût silencieusement en tournant..." |
[Ref. 415:] MICHEL CARROUGES:
Michel Carrouges indique qu'aux environs du 15 octobre 1954, Albert Sion, employé d'hotel, roulait en moto sur un petit chemin entre Toulon et Marseille, quand il s'est trouvé subitement nez à nez avec une soucoupe volante déjà posée au sol à 15 mètres devant lui.
Michel Carrouges indique que sa source est le magazine Radar du 17 octobre 1954.
[Ref. 422:] MICHEL FIGUET ET HENRI JULIEN:
Les deux ufologues français bien connus reprennent l'article du journal "le Méridional" du 5 octobre 1954 par le journaliste P. Seligmann à propos d'une observation faite par M. Albert S. le 28 septembre 1954 sur la route nationale 8 au niveau du bois de Cuges les Pins:
Les auteurs précisent qu'aucune enquête officielle n'a été menée sur cette observation.
"J'essayais ma moto sur la route de Toulon; elle sortait de l'atelier. En allant vers Marseille, 10 km avant Cuges, je m'engageais sur un sentier à droite de la route. Je roulais en première. Aux pétarades de ma moto succède un long sifflement... et le moteur cale. Impossible de le remettre en marche. Je l'examine et en relevant la tête, j'aperçois à 15 mètres devant moi, perchée sur un monticule, "une soucoupe volante". "Elle avait environ 8 mètres de diamètre sur 1m 70 de haut. De couleur rouille, elle était formée de deux éléments de taille inégale, le supérieur étant plus volumineux que l'inférieur. Exactement comme deux sous-tasses accolées par leur bord. La jonction des deux éléments formait une avancée manifeste d'épaisseur. Sur celle-ci, une zone d'ombre me faisait penser que des "meurtrières" étaient ménagées dans la coque. Le tout était surmonté d'une coupole entrouverte qui se rabattit comme un cockpit d'avion, sans le moindre bruit." "J'ai fait deux pas dans sa direction. Le troisième me fut impossible. Il semblait qu'une masse pesait sur mes épaules et me paralysait. Je tombais assis." "Alors, je vis la "soucoupe" s'élever lentement à la verticale. L'élément supérieur accusait un mouvement de rotation très doux, dans le sens des aiguilles d'une montre. Pas de train d'atterrissage; elle devait être posée à même le sol rocailleux. Elle s'immobilisa à une quarantaine de mètres d'altitude, marqua un temps d'arrêt et disparut en trente secondes de mon champ de vision, en s'élevant dans un angle de 45 degrés." "J'étais ahuri. En me relevant, je sentis que mes jambes étaient molles. Je trébuchais par deux fois et je me foulais la cheville. La moto renâcla avant de consentir à démarrer. Ma montre, qui n'avait jamais calé depuis dix ans, s'était arrêtée en même temps que ma moto, à 7h moins 10..." "L'événement s'est déroulé en quatre ou cinq minutes. Il fallait que j'aille à mon travail. Pas du tout rassuré, je filais sans demander mon reste." "Je ne suis plus le même. La vision de cette "soucoupe" m'a rendu aussi nerveux que j'étais calme. Moi qui dormais comme un loir, je souffre d'insomnie. Au travail, mes collègues me trouvaient changé; j'ai fini par leur conter cette histoire qui les laisse sceptiques. Comme ma femme, d'ailleurs..." |
[Ref. 1002] JEAN SIDER:
L'auteur et ufologue Jean Sider indique qu'en septembre 1954, M. Albert Sion, de Valbarelle, essayait une moto qu'il venait d'acheter. Arrivé au niveau du bois de Cuges, côté Var, son moteur a calé et refusé de redémarrer. I1 a alors aperçu à quinze mètres de lui une soucoupe volante, posée sur un monticule. II a voulu s'en approcher mais s'est senti soudainement paralysé au point de tomber assis. L'objet a ensuite décollé et a été hors de sa vue en trente secondes. Avant de repartir sur sa moto dont le moteur redénarrat maintenant, M. Sion avait constaté que sa montre qui n'avait pourtant jamais donné aucun signe de défaillance depuis dix ans s'était arrêtée. La montre a du être réparée.
Non encore recherchée.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
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[-] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.